Voyager sans parler anglais, n’est pas toujours chose aisée. Il parait que les français sont mauvais en langue étrangère et notamment en anglais. Et même lorsque l’on était bon en cours, cela ne veut pas dire que parler anglais en voyage sera facile. Lors de notre premier voyage à New York, chaque moment d’échange n’a pas toujours été commode en dépit de nos bons niveaux d’anglais. Parce qu’entre l’analyse d’un texte de Shakespeare et l’équipier McDo qui vous bombarde de questions dans une ambiance bruyante, ce n’est pas du tout la même histoire ! Nous avons donc eu envie de vous partager notre expérience et de vous fournir quelques conseils pour vous lancer plus sereinement à la découverte des pays Anglo-Saxon ! Que vous soyez archi nul en anglais ou moyen, voici nos astuces !
Passer la douane aux Etats-Unis ou au Canada quand on ne parle pas anglais (ou mal) !
Tout commence par la douane, après un réveil bien matinal, 3h d’attente et de formalités à l’aéroport de départ puis 6h d’avion minimum, il faut alors être frais et dispo une fois arrivé à destination ! En tout cas suffisamment attentif pour comprendre ce que demande le douanier qui a toute autorité pour vous refuser l’entrée dans le pays. Et ne vous attendez pas à ce qu’il se mette à votre niveau d’anglais. Ça, on ne l’a encore jamais vu, que ce soit aux USA ou au Canada. Par ailleurs, au Canada anglophone, même si on vous accueille avec un « Bonjour » n’espérez pas parler français ! Ce sera du full English !
Anticipez ce qu’ils attendent de vous ! Renseignez-vous sur les questions qui sont régulièrement posées afin de préparer une réponse toute prête. Sous le regard inquisiteur d’un douanier, il arrive de perdre ses moyens et là, bon courage pour arranger la situation si en plus, on ne comprend pas ou on ne sait pas répondre.
Les questions posées par la douane au Canada !
Au Canada, on a remarqué que leur crainte principale tient dans l’immigration clandestine de français à des fins professionnelles… Qui l’eut cru ! Aussi, sachez dire votre métier et le domaine de l’entreprise qui vous emploi ! Sachez également dire le nombre de fois où vous vous êtes rendus sur leur territoire et la durée du séjour. A Vancouver, tout comme à Montréal les années précédentes, l’agent des douanes nous a questionné sur nos métiers, nos employeurs, l’adresse ou nous dormions ainsi que la durée de notre voyage au Canada. Nous avons été aussi questionné sur notre parcours pendant notre voyage au Canada qui durait quatre semaines. Après trois voyages au Canada qui ont duré chacun entre 3 et 4 semaines, on a eu le droit à la petite question pleine de doutes « vous restez toujours un mois ? ». Pour eux, c’était suspicieux, pour nous, ce n’est qu’une façon d’utiliser nos congés d’été !
A savoir pour le Canada, vous n’avez le droit de ramener que 60$ de cadeaux par personne ! Attention si vous dites que vous allez voir des amis, ils vont forcément vous questionner sur le sujet, notamment si vous leur ramenez du vin (1 bouteille par personne), de la nourriture, des cadeaux. Pensez aussi à connaître l’adresse du premier lieu où vous séjournez, au cas où !
Les questions posées par la douane aux Etats-Unis !
Aux Etats-Unis, nous avons eu régulièrement des questions sur : la durée du voyage, les villes prévues dans notre parcours, etc … Mais la douane s’est jusqu’à présent passée assez rapidement, sans trop de questions. Et certains douaniers étaient vraiment cool !
Une fois la douane passée, entre taxi, transport en commun et enregistrement à l’hôtel, cela se passe plutôt aisément. Si vous prenez les transports en commun : repérez depuis la France le trajet qu’il vous faudra emprunter ! Pour le taxi, pensez à noter l’adresse de votre hôtel, si jamais votre interlocuteur ne vous comprend pas ! Les tarifs des taxis sont souvent fixés depuis les aéroports et les zones taxis sont assez faciles à repérer.
Bon à savoir, à Vancouver, l’achat de ticket de bus/métro se fait via des bornes tactiles sur lesquels le français est disponible, et ça, c’est plutôt cool quand on est fatigué du voyage !
S’enregistrer à l’hôtel quand on ne parle pas anglais (ou mal) !
A l’hôtel, méfiez-vous des propositions d’upgrade et de tout autre service additionnel. Lorsque vous avez un doute, demandez bien toutes les modalités et le tarif exact ! Le maître-mot, surtout quand le porte-monnaie est en jeu, posez autant de questions que nécessaires ! Qui plus est, avec les sites de réservation en ligne, vous pouvez réserver partout dans le monde un hébergement sans parler anglais !
Petite Anecdote : Lors de notre voyage à New York au moment de l’enregistrement à l’hôtel, l’employé nous a proposé un upgrade à 75 $ pour avoir une chambre avec vue sur central park. En 15 secondes on s’est décidé à accepter (surtout qu’à l’époque le cours du dollar américain était avantageux).
Sauf que le dernier jour au moment de partir on s’est rendu compte que c’était bien 75 dollars mais par jour !!!! On en garde quand même un super souvenir.
Le deuxième moment qui peut être difficile quand on est peu habitué à parler anglais et qui revient assez régulièrement : le repas ! La première fois, c’était compliqué ! La vraie difficulté, c’est que le vocabulaire culinaire est dur à maîtriser, même avec un bon niveau d’anglais ou avec un dictionnaire.
Commander à manger aux Etats-Unis et au Canada quand on ne parle pas anglais ?
La première astuce : se rendre au supermarché. Le premier soir en mode décalage horaire, c’est la solution la plus simple. Après, vous allez vite abandonner ! Sachez que les hôtels sont super souples sur le sujet, nous avons toujours pu ramener à manger (ce n’est pas toujours le cas en France). Certains hôtels, comme celui que nous avions à Vancouver, ont même des chambres avec cuisine.
Néanmoins, faire à manger peut vite devenir chiant ! Par ailleurs, la nourriture que vous pouvez acheter n’a rien à voir avec la nôtre (elle coute bien plus cher comparé à nos standards français).
A savoir, tout de même, pour faire les courses, au Canada, on vous conseille IGA et aux Etats-Unis, Whole Food : on peut y trouver des produits frais ainsi que des plats de « traiteur » ! Le supermarché, cela reste quand même un moment amusant où l’on se confronte aux Américains ou Canadiens et à leurs habitudes alimentaires. On retombe un peu en enfance à regarder tout et n’importe quoi ! Vous constaterez aussi que dans les Downtown ou quartiers proches, il y a énormément de petits supermarchés ! On est loin du cliché du grand hyper façon Auchan ou Carrefour !
Vous voyagez sans parler anglais ? Montrez-le !
La deuxième astuce : au restaurant (et vous allez y manger parce qu’il y a tellement de variété de cuisine à tester !), n’hésitez pas à vous parler français entre vous devant les employés. Au début, ça ne nous paraît pas très poli mais c’est la meilleure technique qu’on ait trouvé pour que le serveur comprenne tout de suite que vous n’êtes pas du coin et ainsi éviter d’être confronté au mode « parle comme une mitraillette » de votre interlocuteur. Cette astuce marche pour toutes les conversations où vous vous sentez perdu ! Très souvent, Nadia parle en anglais et Benoît écoute et s’il voit que Nadia n’a pas capté, il lui traduit en français ! L’avantage d’être deux c’est que l’un écoute et l’autre parle. Ça paraît idiot mais quand on a faim, que l’on a marché longuement, que l’on a largement dépassé le stade du « j’ai un peu faim », on n’est pas toujours au mieux de son attention.
Bon, après la recette n’est pas forcément miraculeuse, on s’est déjà retrouvé avec des plats qu’on n’avait pas du tout compris ou qu’on n’aimait pas… mais on en garde un souvenir amusé, c’est aussi ça le voyage !
Comment ça se passe le restaurant aux Etats-Unis et au Canada ?
A savoir, le scénario type en restaurant : à l’arrivée, on vous fait patienter puis on vous appelle pour vous placer. Ensuite, ce que vous voulez boire et enfin, vous aurez la carte pour commander. Souvent, vous avez minimum deux interlocuteurs différents : ceux qui placent et ceux qui prennent les commandes et qui servent. Sachez qu’il n’est pas rare d’attendre pour être placé dans les restaurants. Cela peut aller de 15 minutes à 2 heures pour les restaurants les plus prisés (dans le cas le plus extrême, on voit très clairement qu’il y a foule devant l’établissement). On sait que ce n’est pas vraiment dans notre culture d’attendre aussi longtemps alors si vous avez faim, soyez patients ou trouvez un autre restaurant !
La troisième astuce : dire que vous n’avez pas compris et faire répéter l’interlocuteur, autant que nécessaire. Cela peut paraître bête mais on n’ose pas toujours le faire, parfois par honte peut-être. Pourtant, mieux vaut montrer son incompréhension plutôt que de dire « oui » bêtement. Souvent, dit autrement, la question est plus claire ! Sachez-le tout de suite, certains répéteront bêtement la même chose ou s’agaceront mais d’autres trouveront le moyen de se faire comprendre.
Par exemple, à Banff, nous avons été servi par un Australien de Victoria, même en étant très attentifs, on ne comprenait pas grand-chose (surtout après 40km de vélo en montagne). On lui a fait répéter à chaque fois en raison de son accent trop prononcé et il a tout le temps répété autrement, essayant de se mettre à notre niveau.
Pour faire répéter, redites bien le mot clé, par exemple, pour un restaurant où il y avait de l’attente, nous n’étions pas sûrs entre « fifteen » et « fifty » ce qui changeait drastiquement de délai ! Aussi, nous avons répété le terme « fifty » avec insistance pour être confirmé par la serveuse. Qui nous a fait les grands yeux car l’attente était de « fifteen » minutes (on l’a fait rire et au moins, nos estomacs étaient prévenus !)
Eviter les Fast-food : on pourrait croire, à tort, que se rendre au Mc do ou KFC est plus facile puisque l’on connaît déjà. Sauf que pas du tout ! Il n’y a pas de carte pour montrer son plat, pas de bornes tactiles comme en France (qui a dit que nous n’innovions pas ?). Le préposé pose plein de questions, auxquelles on ne s’attend pas toujours car le menu n’est pas exactement le même que celui en France. Ce sont très souvent des endroits hyper bruyants où il n’est pas facile pour l’oreille de s’adapter et donc d’être en parfaite condition pour échanger en anglais. On s’est déjà retrouvé sans frites bêtement car on n’avait pas demandé le bon menu… Et pour un prix « exorbitant » du coup !
Si vous tenez à manger dans un fast-food, allez dans les food court où sont rassemblés toutes les enseignes. Vous pourrez choisir à travers la vitrine plus facilement ! Nous, on est trop fan de Panda Express aux Etats-Unis !
Essayez les restaurants japonais, si vous aimez cette cuisine. Si un soir vous êtes fatigués, nombreux japonais sont munies de carte avec photos, cela facilite grandement la commande ! Pour les habitués de cette cuisine, ce sont très souvent les mêmes termes que l’on retrouve. A savoir, la sauce soja sucrée n’existe pas aux USA et Canada ! Sinon, optez pour les restaurants italiens, ce sont les plats les plus faciles à comprendre. Et la cuisine italienne en Amérique du Nord, c’est une sacré institution !
Pensez à la vente à emporter, de nombreux restaurants proposent ce service ! Certes vous devrez passer commande et n’échapperez pas au fait de vous exprimer en anglais, mais une petite soirée au calme (en amoureux) à l’hôtel plutôt que dans un environnement bruyant c’est appréciable ! Le lendemain, vous serez beaucoup plus frais pour parler anglais en voyage !
A savoir, pour la vente à emporter, il n’y a pas de service à payer, seulement les taxes locales et/ou nationales qui sont mentionnées sur le ticket.
Voyager sans parler anglais ou très peu, comment s’en sortir ?
L’idéal, comme pour l’hôtel, est d’avoir réservé en avance vos activités ! Ainsi, pas besoin de vous débrouiller en anglais ! De nombreux sites en français, permettent de voyager sans parler anglais facilement ! Nous utilisons Viator pour acheter des activités avant de partir !
Ensuite, selon les activités que vous faites, vous pouvez n’avoir que très peu besoin de vous exprimer. Mais si vous devez échanger, voici quelques autres astuces :
Encore une fois, parler entre vous en français devant l’interlocuteur ainsi que faire répéter en précisant ne pas avoir compris peut être utile dans toute conversation. Même si cela fait râler votre interlocuteur, peu importe ! Vous avez un accent pourri ? Tant mieux, cela montre que vous n’êtes pas du pays ! Répétez bien le mot que vous n’avez pas compris pour faire valider par votre interlocuteur en cas de doute.
Demander lui d’écrire l’information demandée sur un papier, exemple pour un prix ou une adresse, etc… Les chiffres peuvent parfois ne pas être clairs. L’astuce de montrer avec les doigts fonctionne bien. C’est plus rapide si vous sentez que votre interlocuteur est pressé.
N’ayez pas honte de voyager sans parler anglais !
Globalement, ne passez pas à côté de quelque chose en n’osant pas demander de peur de ne pas savoir vous exprimer. Pas besoin de faire les longues phrases que nous avons appris à l’école. Utilisez les mots clés de votre demande pour vous faire comprendre ! Vous verrez les longues phrases, vous en entendrez très peu alors faites en de même. Pas de chichi dans l’utilisation de l’anglais, bien au contraire, allez au plus simple !
Dans la majorité des cas, les échanges se passeront très bien, surtout si vous montrez que vous avez confiance en vous ! A force de parler anglais en voyage, nous nous sommes rendus compte qu’il était primordial d’être sûrs de nous. Maintenant, le maître mot, c’est OSER ! Exemple : à Grouse Mountain, en achetant le billet descente du téléphérique, on s’est renseigné sur la navette gratuite. Cela nous a permis de nous rendre facilement à Canada Place, sans reprendre les transports en commun. Après une grosse journée de randonnée, on était bien contents de nous poser dans un car chauffé pour descendre jusqu’à Canada Place.
Et puis, ne pas toujours tout comprendre, c’est ce qui est amusant dans le voyage ! Il faut juste être attentif en matière de prix ! C’est grâce à la différence de langue que l’on s’est retrouvé à pédaler 83km dans les Rocheuses Canadiennes au lieu de grimper au Lac Moraine, en bus… Et franchement, quel souvenir !
Apprendre l’anglais facilement avant de partir en voyage !
Un voyage, cela se prépare, en général, longtemps en avance ! Plutôt que prendre le risque de ne rien comprendre, pourquoi ne pas apprendre ou réviser l’anglais ? Comment faire pour apprendre facilement en peu de temps ? Impossible de passer à côté de Babbel pour vous mettre à l’anglais ! La méthode est simple et ludique our ne pas se lasser au bout de quelques jours ! Alors, apprenez facilement l’anglais avec Babbel !
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Comment voyager sans parler anglais (ou mal), en bref !
Ayez confiance en vous, n’hésitez pas à demander, faire répéter et parler français devant votre interlocuteur! Pour vous mettre à l’aise, imaginez le devant parler français…
Faites des phrases très courtes en appuyant sur le mot clé de votre demande ! Soyez surtout en alerte lorsque vous avez besoin d’échanger pour vous diriger ou pour une prestation à payer ! Ménagez-vous au moment des repas par la vente à emporter ! Les sollicitations 2 à 3 fois par jour, au restaurant, pendant plusieurs semaines peuvent vite fatiguer !
Important, il y a de vrais faux amis ! Gratuity ne veut pas dire gratuit. Dans un restaurant, cela correspond au service qui n’est pas inclus dans la note (sauf mention contraire).
Et surtout, amusez-vous ! Au final, après nos trois semaines en Canada anglophone, on était un peu tristes de retrouver la facilité du français à Montréal ! Et on ressent cela à chaque fois !
Article publié initialement le 31 Octobre 2016 et mis à jour depuis.
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15 commentaires
Bonsoir,
Très intéressant tout ce que vous avez pu donner comme info cela ns servira si on se lance ds l’aventure. Avec mon mari ns ne parlons pas du tout anglais et ns hésitons entre le voyage organisé ce qui ne correspond pas du tout à nos habitudes mais à cause de la langue ns ns y contraindrons si mission impossible. Notre peur est de se déplacer avec la voiture de location. Pr suivre les panneaux GPS Plans comment faire quand on ne parle l’anglais pr se déplacer librement.
Si vous avez des conseils je suis preneuse et vous remercie.
Corinne
Bonjour Corinne,
Merci !
Je comprend votre interrogation. Si vous n’êtes pas habitués au voyage organisé, vous risqueriez d’être déçus…! A moins de trouver des agences de voyage comme Terres d’Aventure qui propose des séjours organisés plus « personnalisés »
Pour la location de voiture, je vous conseillerai de la prendre depuis la France, sur des sites internationaux comme Avis et Hertz ! Ainsi, toutes les formalités seront prêtes avant votre arrivée et vous pourrez très certainement consulter le service client en français avant de partir pour toute question.
Pour ce qui est de suivre les panneaux, nous ne conduisons pas mais les panneaux peuvent être compris de tous. Je pense aussi que vous pourrez mettre le GPS en français et surtout sachez qu’avec certains opérateurs de téléphone, vous pourrez gratuitement utiliser internet sur votre smartphone (et donc le GPS). Vous pouvez aussi vous renseigner pour prendre une hausse de forfait pour avoir des données à l’étranger pendant le temps de votre voyage si ce n’est pas compris dans votre forfait.
Le plus important est de préparer au maximum votre voyage et vos déplacements depuis la France. Par exemple, lorsque nous sommes partis dans l’Alberta en n’ayant que le bus comme mode de déplacement, nous avions tout réserver depuis la France.
Le plus difficile ce sont les premiers jours avec le décalage horaire ! C’est pour cela que nous partons un peu plus longtemps pour prendre le temps de nous adapter au nouvel horaire ! Car c’est avec la fatigue que l’on fait des erreurs !
Vous pourrez aussi télécharger une appli de traduction sur votre téléphone.
Enfin, prenez un ou plusieurs mois de « cours » avec Babbel pour vous préparer à la langue ! Ce n’est pas très cher et ludique !
Pour le reste, tout dépend aussi du lieu de votre destination !
Bonne journée,
Nadia
Ce sont des choses auxquelles je n’aurais pas pensé. C’est très gentil de ta part de partager ton expérience. Il est vrai que la barrière de la langue pose parfois problème. Grâce à tes conseils, je pense que je devrais mieux m’en sortir lors de mon prochain voyage.
Bien contents que l’article t’aide !
Je peux te dire que cet article n’aidera pas que moi, car je l’ai transmis à mes amis qui galèrent aussi parfois. 😛
Moi qui n’ose pas trop parler anglais (mais je me soigne) je trouve que c’est un article très intéressant et qui donne des pistes concrètes. Merci à vous.
Bonjour Laura ! On est ravis de pouvoir t’aider pour tes prochains voyages ! On partage nos astuces avec plaisir 🙂
Je suis complètement d’accord avec cet article. Au début, on peut appréhender de s’exprimer mais en tout cas, aux Etats-Unis, les gens sont très ouverts et ne rechignent pas à répéter. Je me souviens d’une fois à la réception d’un hôtel à San Francisco, la réceptionniste m’avait demandé quelle était la suite du voyage. J’ai commencé à lui expliquer mes étapes, puis j’ai buté sur un mot, impossible de me rappeler la traduction en anglais. Tant pis, j’ai sauté le mot en lui expliquant avec des gestes, elle a compris sans souci 🙂 J’appréhendais aussi davantage dans les restaurants: toujours se renseigner sur quelques basiques comme la cuisson d’une viande, surtout que ça reviendra obligatoirement si vous demandez un burger dans un restaurant 😉
Bonjour Mickaël, merci pour ton commentaire 🙂 Et oui, osez est le maître mot ^^ ! Surtout pour ne pas se tromper de plat 😉
Je suis d’accord avec vous, surtout en ce qui concerne les fast food ! En plus, ils parlent vraiment très vite et ne font pas d’effort pour se faire comprendre :-/
Merci Sarah pour ton commentaire 🙂 En effet, on déconseille les fast foods aux USA et Canada…c’est bien trop bruyant pour nos oreilles françaises ^^ !
La plupart des circonstances décrites ici correspondent à des échanges avec des personnes qui rencontre régulièrement des voyageurs ou clients non anglophones. Un peu comme nous les francophones à la première phrase, les prestataires entendent qu’on est pas du coin. Dans les hôtels et restaurants, nous n’avons pas rencontré d’agacement de la part des interlocuteurs mais bien une grande patience et le souci d’être bien compris. Parfois même des petites pancartes où les explications sont écrites. Je n’en dirais pas autant des services de douanes et d’immigration et surtout des services de sécurité dans les aéroports.
Très juste remarque concernant les chiffres. Cette confusion est bien connue des anglophones et la manière la plus efficace d’y remédier est d’énoncer chaque chiffre. Dire par exemple : sorry fifteen or fifty , is it one five or five zero ? C’est d’ailleurs la méthode utilisée depuis longtemps pour nommer numéros des chambres.
Chaque voyageur et chaque voyage implique un ressenti différent puisqu’il entraîne une pluralité d’interlocuteurs et d’échanges ! Néanmoins, aux USA et Canada, c’est le genre de comportement que nous avons rencontré et que l’on devine potentiellement déroutante pour un voyageur novice. La norme est l’anglais, ainsi il leur paraît inconcevable de parler un autre langue ! Particulièrement dans certaines zones comme l’ouest canadien où les francophones sont peu à s’aventurer. Ensuite, chacun développe ses petites astuces pour se faire comprendre 🙂
Encore un Article super intéressant effectivement c est important de connaitre quelques mots d anglais pour la douane j ai eu des soucis à Toronto il ne faut pas se laisser surprende par leurs questions
Nadia ta petite robe rouge style année 60 est tres jolie et te va tres bien
Toujours de belles photos
Bises
Merci beaucoup Catherine ! Ca fait super plaisir !!!! 😀